Oscars 2024 : qui sont les grands favoris ?

La 96e cérémonie des Oscars promet d’embraser la nuit du dimanche 10 au lundi 11 mars à Los Angeles. Quel film en lice décrochera le précieux Oscar du meilleur film ? Le suspense est à son comble.

Par Marie Guermeur pour Le Point

Durant la soirée tant attendue des Oscars, dans la nuit du dimanche 10 au lundi 11 mars à Los Angeles, 24 prix seront décernés. 
Durant la soirée tant attendue des Oscars, dans la nuit du dimanche 10 au lundi 11 mars à Los Angeles, 24 prix seront décernés.  © David Baratz-USA TODAY/Sipa USA/SIPA / SIPA / David Baratz-USA TODAY/Sipa USA/

Temps de lecture : 1 min

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Dans l'effervescence de Hollywood Boulevard, les derniers préparatifs battent leur plein pour la 96e cérémonie des Oscars. Depuis près d'un mois, des équipes dévouées s'activent pour créer le cadre somptueux de l'événement. Avec 30 rouleaux de tapis rouge déployés, la scène est prête à accueillir les centaines de stars attendues pour la soirée du dimanche 10 mars.

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Selon les médias américains, la cérémonie a nécessité une somme colossale de près de 57 millions de dollars. Jimmy Kimmel, humoriste et animateur, reviendra pour la quatrième fois en tant que maître de cérémonie. L'année précédente, l'événement avait captivé l'attention de 19 millions de téléspectateurs américains. La concurrence s'annonce féroce, notamment de la part d'Oppenheimer qui fait sensation dans les prédictions.

Un film français parmi les favoris

La soirée promet d'être riche en récompenses avec 24 prix à décerner. Un tiers des nommés sont des femmes. Oppenheimer de Christopher Nolan domine les pronostics avec 13 nominations, tandis que le film Anatomie d'une chute de la réalisatrice française Justine Triet suit de près avec 5 nominations, dont celles du meilleur film et de la meilleure réalisation. Le film événement de l'année Barbie fait également partie des favoris.

À LIRE AUSSI Oscars : ces films français déjà récompensés à HollywoodLa puissance cinématographique de Greta Gerwig et Christopher Nolan, surnommée « Barbenheimer », impressionne avec un total de 21 nominations. Gerwig a démontré que même le divertissement commercial pouvait atteindre des sommets artistiques, tandis que Nolan a prouvé que des sujets complexes pouvaient captiver les foules. La 96e édition des Oscars cherchera à raviver l'éclat du cinéma hollywoodien, mis à mal par les conséquences de la pandémie de Covid-19, qui avait laissé planer un doute sur son avenir.

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Commentaires (5)

  • hurlevon

    @Petit malin 10-03-2024 • 09h57
    Vous êtes dans le vrai.

  • Caton63

    @Ours polaire et @petitmalin

    Juste un point : les milliards dépensés ne disparaissent pas, ils servent à rémunérer des emplois qui à leur tour investissent et consomment, il n'y a rien de choquant à tout cela, c'est le fonctionnement normal d'une économie et celle des US ne se porte pas si mal.

  • Petit malin

    @ Ours Polaire 10-03-2024 • 09h31
    Bonjour, Curieusement mon commentaire est incomplet ! Je comparais ces 57 millions avec la valse des milliards dépensés par notre Président et son gouvernement...
    Combien croyez vous de millions d'euros va coûter leur "observatoire des haies", s'il voit le jour ? Bureaux physiques à Paris évidemment, énarque à la direction, donc chef de cabinet, véhicules, fonctionnaires pour le fonctionnement du machin, observateurs labellisés, voyages "pour se rendre compte sur place", production des rapports, exploitation des rapports et demande de nouvelles informations, etc. , etc.
    Auxquels il faudrait ajouter en coût complet le temps des acteurs qu'ils vont déranger, faire travailler ou réunir pour des débriefing (agriculteurs et éleveurs, préfets, maires et employés de mairie... ).
    Revenons aux élections américaines...
    Aux USA c'est un autre système. L'argent vient des entreprises et autres soutiens partisans.
    Ils n'ont pas le même rapport à l'argent... Et puis cela ne choque ni les méchants républicains, ni les gentils démocrates, alors !
    D'une certaine manière cela fait marcher le commerce et tout rentre in fine dans le PIB.
    Une autre manière de voir les choses...