« Le Bureau des légendes », si loin et si proche de la DGSE

Les relations entre le réalisateur Éric Rochant et les services secrets français ont été basées sur la confiance, avec, dès le départ, l'aval de l'Élysée.

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Mathieu Kassovitz, aka Malotru dans « Le Bureau des Légendes ».
Mathieu Kassovitz, aka Malotru dans « Le Bureau des Légendes ». © Photo numérique / Jean-François Baumard

Temps de lecture : 10 min

Il y a six ans, l'idée de réaliser une série sur les services secrets français, la fameuse DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure), paraissait irréaliste, voire culottée. Une mission quasi impossible face à une institution qui communique rarement et cultive, comme il se doit, le secret et le silence. Pas pour le cinéaste Éric Rochant, déjà remarqué dans la communauté du renseignement par son film Les Patriotes (1994) – le parcours d'un jeune Français au sein du Mossad, les services secrets israéliens –, et son producteur, Alex Berger, qui ont su plaider leur cause auprès des services de renseignements et du pouvoir politique.

Leur idée ? Plonger au cœur du système et inventer la fiction la plus plausible possible, sans trahir des dossiers secrets auxquels, de toute manière, i...

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