100 ans de Disney : la liste de ces films qui nous ont tant marqués

Chacun de nous a forcément été touché dans son enfance par l’univers Disney. Petite plongée dans ces films qui ont marqué, à vie, la rédaction du « Point ». Et vous, lesquels vous ont charmés ?

Par , , , , , , , , , , , , , , Louis Eustache

Disney fête ses 100 ans.
Disney fête ses 100 ans. © Disney

Temps de lecture : 13 min

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Quel enfant n'a pas eu le bonheur de découvrir sur grand écran (soyons fous !) ou sur petit, un dessin animé sorti de la grande firme Disney ? Et lequel d'entre eux peut jurer n'avoir été marqué par aucun de ces films ? À la rédaction du Point, nous nous sommes posé cette question. Et chacun a tenté de parler en quelques mots de ce long-métrage qui a laissé à jamais son empreinte dans son imaginaire.

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Premier constat : peu de place pour les princesses -.seule La Reine des neiges tire son pic à glace du jeu -. Et si leurs aventures faisaient partie de nos plaisirs coupables… En revanche, les animaux se révèlent décidément les meilleurs guides pour les enfants que nous avons été. Sans oublier les chansons, véritable marque de fabrique de Disney, qui peuplent encore les souvenirs des uns ou des autres. Restent encore ces raisons inattendues qui font d'un Roi lion, d'un Livre de la jungle ou d'un Dumbo nos films de chevet.

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Le Livre de la jungle : une bande originale inoubliable

Peut-être pas l'histoire la plus mémorable de la firme que ce voyage initiatique de Mowgli – jeune garçon élevé par des loups et appelé à rejoindre ses congénères hommes – d'après le recueil de nouvelles du même nom de Rudyard Kipling paru en 1894, mais alors quelle musique ! Le Livre de la jungle bénéficie surtout d'une bande originale haut de gamme qui a donné lieu à des numéros musicaux d'anthologie. « Il en faut peu pour être heureux », bien sûr, mais aussi « Être un homme comme vous », interprété en VO par Louis Prima qui évolue dans le film d'animation sous les traits du roi des orangs-outans, « Aie confiance », par le sinueux Kaa ou encore « Tes vrais amis » avec ces vautours inspirés des Beatles. Si certains éléments du film n'ont pas forcément très bien vieilli, la musique, elle, n'a pas pris une ride. A.-L. P.

Les Aventures de Bernard et Bianca : réhabilitons Médusa

Ce dessin animé, plutôt noir, a marqué à jamais le petit garçon de 5 ans que j'étais, à sa sortie en 1977, en me confrontant à ma première « méchante » du cinéma : l'effrayante Médusa. Tout concourt alors à me la rendre fascinante : ses cheveux rouges, ses faux cils azur qu'elle enlève en tirant sur ses paupières élastiques, ses jambes malingres enfoncées dans de ridicules bottines noires, sa robe orange outrageusement décolletée. Mais ce sont surtout ses cris stridents (merci la voix de Perrette Pradier) qui me frappent. « Ou tu descends dans ce trou et me rapportes ce diamant, ou tu ne reverras plus jamais ton cher nounours », vocifère-t-elle en menaçant Penny, la petite orpheline qu'elle a kidnappée et à qui les souris Bernard et Bianca viennent en aide. Une gamine, toute en couettes, assez menue pour pénétrer dans la grotte qui recèle l'œil du Diable, un diamant aussi gros qu'un œuf de pigeon planqué derrière le crâne d'un pirate. Flanquée du veule Monsieur Snoops et des crocodiles Néron et Brutus, elle fait ainsi régner la terreur pendant 1 h 34, squattant à jamais dans mon esprit la première marche du podium des méchantes de Disney. Même la Cruella d'Enfer des 101 Dalmatiens, version plus élégante de ma mégère, ne parviendra jamais à supplanter dans mon cœur Mme Médusa, injustement sous-estimée. F. D.

La Belle et le Clochard : amoral et alors ?

« Dans toute l'histoire du monde, une seule chose ne peut être achetée… Le battement de queue d'un chien. » C'est par cette citation de Josh Billings, humoriste américain, que s'ouvre la plus tendre des œuvres Disney, du moins, à mes yeux. Sorti en France en 1955, le film La Belle et le Clochard est une lettre d'amour à nos compagnons à quatre pattes. Il raconte l'idylle entre Lady, chienne cocker gâtée par ses maîtres, et le Clochard, un chien errant au grand cœur. Porté par des scènes à l'inventivité folle, comme la prestation musicale des chats siamois et le célèbre baiser-spaghetti, le film se distingue aussi des autres productions Disney par sa quasi-absence de morale. Faut-il préférer sa liberté au confort d'une maison et d'un jardin clôturé ? La Belle et le Clochard se gardent bien de nous donner une réponse. Preuve que l'on peut, comme l'auteur de ces lignes, aimer Disney sans se faire prendre par la main. T. C.

Dumbo : pour prendre son envol

Walt Disney s'inspira de l'histoire remarquablement illustrée d'un éléphanteau pas comme les autres pour ce long-métrage de format court (64 minutes seulement), sorti fin 1941 et qu'il avoua être son film préféré. Le mien aussi ! Quand les cigognes livrent leurs bébés aux animaux du cirque, l'éléphante Madame Jumbo est oubliée. Heureusement, une cigogne revient vers elle avec un éléphanteau adorable, mais doté d'oreilles démesurées… Immédiatement surnommé Dumbo (de dumb, stupide en anglais), le nouveau venu suscite les railleries des éléphantes de la troupe et les moqueries d'un jeune public aussi cruel que son âge ingrat. La mère défend trompe en l'air son petit en leur donnant une bonne fessée. Désignée comme dangereuse, elle est enfermée derrière des barreaux, tandis que Dumbo deviendra… clown. Mais son amie, la souris Timothée, se démène, jusqu'à ce numéro où l'éléphanteau, grâce à ses oreilles, se met à voler ! Paralympique avant l'heure, l'admirable Dumbo touche au cœur. Tim Burton l'a fait revivre dans son adaptation homonyme en 2019. V. M. LM.

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Le Roi lion : l'histoire d'une première fois

Le Roi lion m'a marqué à plus d'un titre. Je me souviens parfaitement de ce Disney sorti en novembre 1994, car j'avais 6 ans à l'époque et c'était la première fois que je participais à une sortie scolaire. J'étais alors en classe de CP et cela m'a procuré une sensation de liberté. Du film en lui-même, je garde en mémoire les grands espaces et, surtout, la présentation de Simba, le lionceau héritier du royaume des animaux par le vieux mandrill Rafiki. Aujourd'hui jeune papa, je ne boude pas mon plaisir de reproduire ce geste avec mon fils, devant mes amis. Je ne peux pas non plus m'empêcher de sourire, trente ans plus tard, lorsque j'entends les premières notes d'« Hakuna Matata », cet hymne à la joie et à la positivité… Cette philosophie ! Ce morceau, qui signifie « pas de souci » en swahili, est chanté par les inoubliables Timon le suricate et Pumba le phacochère. Non vraiment, quel film magnifique et fantastique ! J. R.

La Reine des neiges : comment elle m'a libérée, délivrée

Elle a vrillé la tête de tellement de parents ces dernières années… Et si, malgré tout, la chanson d'Anaïs Delva aux envolées suraiguës avait quelque chose de grisant ? Et si Elsa, cette jeune femme qui décide de quitter le royaume d'Arendelle pour vivre sa vie dans un univers de glace, incarnait quelque chose de plus grand que le personnage un peu caricatural que le dessin animé a voulu en faire ? La liberté d'être soi-même, comme l'écrivait Virginia Woolf dans Une chambre à soi : « Je devrais vous supplier de penser à vos responsabilités, de vous élever, de faire une plus grande part aux choses de l'esprit, je devrais vous rappeler combien on compte sur vous et quelle influence vous pouvez exercer sur l'avenir. […] Il est beaucoup plus important d'être soi-même que quoi que ce soit d'autre. » Au-delà de ces considérations existentielles, La Reine des neiges réussit le tour de force de vous faire revivre vos plaisirs d'enfance avec vos propres enfants – en partie sans doute grâce à la fatigue de journées trop longues et de nuits trop courtes. Et de redécouvrir cette émotion primaire qui consiste à vibrer avec la princesse, toujours aveugle aux premiers charmes de l'amour. L'extralucide spectateur que vous êtes peut ensuite se plonger dans le plaisir d'un générique atroce, à chanter à tue-tête et en famille. Plaisir coupable, quand tu nous tiens. A. LG.

Kuzco, l'empereur mégalo : un des tout meilleurs

Ce Disney méconnu mérite qu'on s'y attarde. Le pauvre bougre a eu la mauvaise idée de sortir au mauvais moment. Une période durant laquelle les studios Disney – qui lorgnaient sans doute déjà Pixar, racheté cinq ans plus tard – alignaient navet sur navet, de Dinosaure à La Planète au trésor en passant par Atlantide, l'empire perdu. S'il n'a ni l'ampleur des grands classiques, ni le côté moelleux des Aladdin ou du Roi lion, ni la singularité des Wall-E, Ratatouille et autres productions numériques postérieures, Kuzco, l'empereur mégalo reste l'un des tout meilleurs Disney. 2D bariolée, scénario aussi barré que sa galerie de personnages (team Kronk !) et répliques tordantes en font une délicieuse sucrerie pop. H. de SP.

Coco : funèbre et féerique

Le nom Coco me rappelle immédiatement la chanson « Remember Me », qui conclut le film avec le plus beau des messages : se souvenir des morts est une façon de les ressusciter. Le très folklorique Dia de los muertos sert de toile de fond à ce bijou Disney-Pixar, qui nous embarque dans l'aventure de Miguel, un jeune Mexicain vivant dans une famille où la musique est proscrite. Mais sa passion musicale va l'emmener au pays des morts, où il découvrira de nombreux secrets… Loin de l'austérité du deuil en Occident, Coco nous fait découvrir une nouvelle tradition dans laquelle la mort, tout autant que la vie, doit être célébrée. Au-delà d'un hommage à une culture, ce film d'animation regorge d'audace pour traiter de thèmes aussi sacrés que la famille ou la mort, avec une émotion palpable du début jusqu'à la fin. Cette fiction de 2017 a reçu le Bafta, le Golden Globe et l'oscar du meilleur film d'animation. À découvrir absolument ! P. B. 

Les Aristochats : comment je suis devenue une « fille à chats »

Imaginez trois chatons replets qui récitent gaiement « leurs gammes et leurs arpèges » sous les yeux attendris de leur mère. Nous sommes dans le Paris bourgeois de la Belle Époque. L'élégante Duchesse et ses chatons modèles, Marie, Berlioz et Toulouse, héritiers de leur maîtresse adorée, sont kidnappés par le majordome, le détestable Edgar. Livrée à elle-même sur une petite route de campagne, la famille féline est prise sous l'aile (ou la patte) de Thomas O'Maley, le chat de gouttière un peu bad boy qui va leur faire découvrir un monde où « ça swingue », grâce à un bœuf de jazz d'anthologie qui casse littéralement la baraque. Dans Les Aristochats, sorti en 1971, le coup de crayon mi-chic mi-canaille vous emporte autant que les notes de musique mi-jazz mi-classique. Imaginez maintenant avoir grandi dans les années 1980. Internet n'existe pas, mais les chatons « trop mignons », si. C'est sûr, « tout le monde veut devenir un cat ! ». M. G.

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Frères des ours : écologique avant l'heure

« Dites à mes amis que je m'en vais, je pars vers de nouveaux pays. » Cette chanson entêtante vous accompagnera sans doute plusieurs semaines après avoir vu Frères des ours. Ce film, sorti en 2003, nous plonge dans les forêts verdoyantes du Grand Nord américain, où les lumières touchent la terre et où les rivières sont riches en saumons. On y suit Kenaï qui doit, au cours d'une cérémonie de passage à l'âge adulte, recevoir son animal totem. Transformé en ours, le jeune Inuit va entamer un long périple initiatique. Il deviendra, au fil des aventures, le grand frère d'adoption de Koda, petit ourson malicieux. Empreint d'un esprit animiste et écologique avant l'heure, Frère des ours fait la part belle aux paysages et à la faune. Une échappée poétique qui nous fait grandir, et nous donne envie, nous aussi, d'aller vers de nouveaux pays. C. M.

Fantasia : sans paroles

Un ovni dans la filmographie de Disney que ce troisième long-métrage d'animation consacré tout entier à la glorification de la musique classique. Moins facile d'accès pour un enfant, il se présente comme un concert (on y voit les ombres des musiciens de l'orchestre de Philadelphie en train de s'accorder) et ne comporte pas de dialogues, seulement quelques interventions du narrateur et de Mickey, pour faire toute la place à sa bande-son. Et quelle bande-son : la Symphonie pastorale de Beethoven avec ses pégases, centaures et chérubins, Casse-Noisette de Tchaikovsky et ses fleurs, ses radis ou encore ses champignons dansants… Des tableaux qui imprègnent progressivement et durablement l'imaginaire, pour le pire pour quelques-uns, tant certaines représentations se sont ancrées dans la culture populaire. On vous met au défi d'écouter L'Apprenti sorcier de Paul Dukas sans instantanément penser à Mickey noyé sous les seaux d'eau de ses ballets. A.-L. P

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La Petite Sirène : déguisement compris

Qui n'a jamais joué à la Petite Sirène en vacances à la mer ? Ce film, sorti en 1989, je l'ai regardé en boucle, au plus grand bonheur de mes parents, à partir d'une cassette VHS piratée et dont il manquait le début. L'histoire d'une petite sirène qui se rêvait humaine. À l'âge de 8 ans, je voulais tellement ressembler à Ariel que, devant le miroir, je m'entraînais à imiter son rictus. Pour le carnaval de l'école, j'avais demandé à ma mère de me confectionner un costume d'Ariel. J'ai rarement eu un déguisement aussi peu réussi : si la queue de poisson en strass était des plus belles et scintillantes, la perruque rouge à frange pailletée et la grosse doudoune bleue en guise de soutien-gorge en coquillage finissaient de casser le look. Pour autant, dix-huit ans après, je regarde ce dessin animé avec le même plaisir. A. P.

Rox et Rouky : le film impossible

Dans l'immense cascade de souvenirs que m'évoque Disney, Rox et Rouky occupe une place particulière, car ce film m'a particulièrement marqué… même si je n'ai pas réussi à le regarder. Dernière production du célèbre studio à avoir un générique complet en guise d'introduction, je me souviens surtout d'une musique grave, sévère, annonciatrice d'une scène horrible… A priori, car, en réalité, je ne suis jamais allé plus loin. Je me revois, chez mes grands-parents, me cacher derrière un fauteuil face à cet événement inconnu qui me terrifiait, en hurlant et en pleurant. La VHS aussitôt sortie du magnétoscope, elle regagnera sa jaquette et son loueur, sans que je connaisse cette histoire. À 34 ans, il serait peut-être temps de vaincre ce traumatisme, quitte à me cacher les yeux… ? J. M.

Robin des Bois, de nobles voleurs : de nobles valeurs

Je n'étais pas bien vieux quand j'ai visionné pour la première fois l'adaptation en dessin animé de la légende de Robin des Bois par Disney. Disons 3 ou 4 ans. Ce n'était pas lors de sa sortie en salle, en 1973. Je n'étais pas né ! Mais en cassette vidéo, une antique VHS avec sa boîte en plastique blanche qui fermait mal – nous étions encore au temps du magnétoscope tout-puissant. Aujourd'hui encore, cette chanson me revient régulièrement. Il y a bien sûr les accords de guitare, le chant du coq, le bruit des boulets heurtant le sol. Mais également les images : des animaux tristes traînant leurs pattes enchaînées, qui pourtant chantent et sont solidaires. Je me souviens du moine Frère Tuck, combattant le shérif corrompu à coups de bedaine et de bâton, avant de se faire arrêter. De Robin et Petit Jean détroussant le prince Jean, assis sur le trône du roi légitime en son absence. Du sourire benêt de Petit Jean après avoir truffé sa bouche de gemmes. Des yeux enamourés de Marianne pour Robin. Je n'ai pas oublié non plus le zozotement de Triste Sire, ce serpent sournois si bien nommé. S'il m'a autant marqué, c'est parce que Robin des Bois fait partie de ces rares productions pour enfants qui osent leur désigner le monde tel qu'il peut être : brutal, sombre, injuste. En un mot, complexe. Robin et ses compagnons sont des hors-la-loi, mais leur cause est juste et ils ont le cœur noble. Le prince Jean porte la couronne, mais c'est un roi « de mauvais aloi ». À la fin, bien entendu, les gentils triomphent. De gentils voleurs. F. M.

Non à la monarchie !

Robin des Bois est le film qui m'a fait détester la monarchie. L'attachement à la République me viendra plus tard, certes, mais il était certain, à mes yeux d'enfant, qu'un roi ne pouvait assurer l'égalité et l'idéal de justice qui m'animaient. Même le retour du roi Richard, plus juste et courageux que ce pleutre de prince Jean, n'a pas amendé ma conviction. J'y ai découvert la manière dont l'impôt était levé, la férocité du shérif de Nottingham, le dénuement des petites gens en même temps que la solidarité qu'ils manifestaient les uns envers les autres, la charité du moine, le frère Tuck, le sens du partage de Robin (qui ne gardait rien pour lui), les états d'âme de Belle Marianne, princesse consciente de la misère de ses sujets et, enfin, les merveilleuses chansons du coq ménestrel ! De mémoire : « Des hauts, des bas / il y en a partout / mais des drames / il y en a toujours / ici à Nottingham. » S. M.

Qui veut la peau de Roger Rabbit : un Disney pas comme les autres

Découvert au format VHS sur une cassette émoussée par les rembobinages successifs. Peu réceptif aux contes de fées traditionnels, voire aux productions Disney dans leur ensemble, je m'enthousiasme alors devant un long-métrage inspiré des films noirs sorti en 1988. L'intrigue s'établit dans un Los Angeles des années 1940, temple du bakchich et de la manigance. Plutôt singulier, au royaume de la souris et de l'enchantement ! Malgré mon visionnage de fortune, je reste bluffé par ce curieux mais audacieux mélange d'animation et de prises de vues réelles. À bien des égards, ce Disney ne ressemble à aucun autre. Et c'est précisément ce qui fait son charme. L. E.

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Commentaires (6)

  • doubled78720

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  • Victhor

    Bambi a été mon premier super 8, que je visionnais le soir dans ma chambre d'enfant sous la couverture dans mon lit qui me servais de tente ! Aujourd'hui, je suis papy et je suis arrivé au bout de ma collection DVD et BRD Disney, je pense que c'est une collection à transmettre qui de plus avec les moyen d'aujourd'hui, écran home cinéma et lecteur Blu-Ray au top, fait passer un bon moment en famille, à toute âge, un peu comme Tintin ou Astérix.

  • jb2106

    Le livre de la Jungle ; attention racisme.
    Aladdin ; surtout ne pas le citer parce qu’un arabe voleur ca fait mauvais genre, et le comble, Robin des bois ode à la republique.
    Encore un gratte papier qui récupère à lui l’œuvre d’un homme qu’il aurait conspué de son vivant.
    Vous n’aimez pas Disney et encore plus Walt, ça se voit !