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On l'imagine distant, torturé, solitaire. Il se révèle rieur, humble, presque surpris du culte fervent dont il fait l'objet depuis la fin des années 1980. À l'approche du 21 octobre - jour où lui sera décerné le prestigieux prix Lumière remis chaque année à Lyon par le festival éponyme (Jane Fonda, Catherine Deneuve, Clint Eastwood font partie des précédents lauréats) -, Tim Burton s'esclaffe : « J'ai l'impression d'être mort et d'être convié à mon propre enterrement… Un plaisir un peu particulier, mais un plaisir quand même. » Une touche d'humour, une bonne dose de gothique… le mélange est burtonien en diable. C'est celui qui fait la magie de Beetlejuice (1988), la comédie funèbre qui fut son premier grand succès au box-office, de ses deux Batman (1989 et 1992), et de ce chef-d'œuvre d...
VITTORIO ZUNINO CELOTTO/Getty Images via AFP – Photo12 via AFP – THE GEFFEN COMPANY/Collection ChristopheL via AFP – TOUCHSTONE PICTURES/Collection ChristopheL via AFP – TWENTIETH CENTURY FOX PICTURES/Collection ChristopheL via AFP
Se font rares. Saluons-le.
Peut-être que Le sujet du film donnera envie de revenir en salle obscure
Un peu marre des films Français Sur Le divorce. Les migrants. Le harcèlement. Le genré.
On va d. Abord au ciné pour se distraire Les infos continues Nous gonfle. La Tele est nul.
Comme disait Sur France Inter Ce matin Mr Seydou
Si Les salles ne font pas le plein c'est qu'il n, y a pas assez de bons films.
On se demande où va Tout l'argent versé, à l'industrie cinématographique
Sans doute Trop aux acteurs et Pas assez à la création.